1. Formalités
Les ressortissants français désirant se rendre au Sénégal pour un séjour de moins de 90 jours sont exemptés de visa. Passeport valide 6 mois après la date de retour.
2. Santé / Vaccins
Traitement anti-paludéen et vaccin contre la fièvre jaune recommandés.
Informations données à titre indicatif pour les ressortissants français. Pour les autres nationalités, merci de vous renseigner auprès des ambassades concernées. Il vous appartient de vérifier que vous disposez des éléments d'identité et éventuellement sanitaires nécessaires pour l'entrée dans le pays visité.
3. Climat
Le meilleur moment pour se rendre au Sénégal s'étend de octobre à mai. Entre novembre et février c'est la saison sèche, avec des températures assez fraîches la nuit et en début de matinée. Entre mars et mai, le climat reste sec mais les températures grimpent. La saison des pluies, qui s'étire de juin à septembre, permet de bénéficier d'une végétation luxuriante, regorgeant d'oiseaux et de fleurs. Les pluies sont quasi quotidiennes en juin et juillet mais sont généralement brèves et intenses, et surviennent en fin de journée. Cela permet d'organiser tout de même des départs sur cette période.
4. Décalage horaire
GMT +0 heure, soit 1 heure en moins par rapport à la France.
5. Électricité
230 V - 50 Hz
Les prises sont identiques à celles que l'on trouve en France. Pas besoin d'adaptateur.
6. Monnaie : le Franc CFA
Le franc CFA (franc des Colonies françaises d'Afrique et aujourd'hui franc de la Communauté financière africaine) est le nom de deux monnaies communes à plusieurs pays d'Afrique constituant en partie la zone franc d'Afrique centrale (CEMAC) et la zone franc d'Afrique de l'Ouest (UEMOA).
En Afrique, les zones franc constituent des espaces monétaires et économiques. Ces ensembles, formés d'États et de territoires, sont issus de l'évolution et des transformations de l'ancien empire colonial français et d'États qui n'étaient pas des colonies françaises comme le Cameroun et le Togo (d'abord colonies allemandes), la Guinée équatoriale (espagnole) et la Guinée-Bissau (portugaise). Après l'accession à l'indépendance, la plupart des nouveaux États ont choisi de rester dans un ensemble monétaire homogène, dont le cadre institutionnel a été rénové et qui a été structuré par un système de change commun. Leurs devises sont des contrevaleurs à parité fixe avec l'euro, dont la valeur est garantie par le Trésor public français, dans le cadre du traité de Maastricht.